Vous êtes invité.e.s, ce jeudi 10 octobre, au lancement du plus récent ouvrage de Mark Purdon (Chaire de recherche sur la décarbonisation, UQAM) sur la politique climatique internationale, « The Political Economy of Climate Finance Effectiveness in Developing Countries » . Le lancement sera suivi d’une table ronde avec Bonnie Campbell (Institut d’études internationales de Montréal, UQAM), Yvan Cliche (Centre d’études et de recherches internationales, UdeM) et Sébastien Jodoin (Faculté de droit, McGill).
N’oubliez pas de vous inscrire !
⌚Jeudi 10 octobre, de 17h00 à 19h00
📌 UQAM, 315, Sainte-Catherine Est, Pavillon R, Salle facultaire (R-3570)
Les 10 et 11 octobre prochains, la justice climatique sera au coeur des réflexions et des échanges de cette série de trois rencontres (an anglais), co-organisées par Dominique Leydet et Christophe Malaterre (Département de philosophie, UQAM), mettant en vedette le conférencier invité, SIMON CANEY (Department of Politics and International Studies, University of Warwick).
« What Kind of Climate Duties Do We Have to Future Generations? » Jeudi 10 octobre, 15h30-17h30 Commentateur: Éric Pineault (UQAM)
« What is a Just Transition to a Sustainable World? » Vendredi 11 octobre, 10h00-12h00 Commentatrice: Dominique Leydet (UQAM)
« Political Responsibilities to Tackle Climate Change » Vendredi 11 octobre, 13h30-15h30 Commentateur: Matthias Fritsch (Concordia)
Des rafraîchissements suivront les conférences ainsi qu'une collation le vendredi midi.Les conférences seront aussi diffusées sur Zoom en direct.
📌 W-5215 (UQAM, Département de philosophie, 455 Boulevard René-Lévesque Est, Montréal, H2L 4Y2). Les conférences seront aussi diffusées sur Zoom en direct.
Cette conférence annuelle célèbre la mémoire du grand logicien et philosophe québécois Hugues Leblanc (1924-1999). Se déroulant sur deux jours, cet événement se structure autour d’une série de présentations délivrées par une conférencière ou un conférencier de renommée internationale, et d’interventions de professeures et professeurs issus d’universités canadiennes ou étrangères, sur une thématique relevant de la philosophie analytique.
Cette année, nous aurons le plaisir d’accueillir, les participantes et participants des trois cycles d’études des programmes de l’ISE au colloque de l’ISE !
Cette journée est l’occasion d’échanger avec des collègues étudiantes, étudiants, des professeures, professeurs et chercheuses, chercheurs de l’ensemble des facultés de l’UQAM.
L’édition 2023 du colloque de l’ISE aura lieu le vendredi 28 avril, au Pavillon Président Kennedy de la Faculté des Sciences (PK 11-40).
Pour répondre à l'appel de communications libres, soumettez votre proposition en envoyant votre résumé selon le gabarit à télécharger à l'adresse courriel ise@uqam.ca avant le 31 mars prochain à 17h.
Conditions :
Présenter une recherche qui porte sur l’environnement, avec des résultats
Présenter un résumé de proposition de communication selon le gabarit ici
L’UQAM organise des Portes ouvertes en format hybride le 22 octobre prochain.
La matinée se déroulera virtuellement avec des conférences, des séances d’information et du clavardage, alors que le campus s’animera en après-midi avec des démonstrations, kiosques et visites guidées.
Venez échanger avec des membres du corps professoral, des étudiantes et des étudiants ainsi qu'avec divers membres du personnel qui répondront à vos questions sur les programmes d’études, les activités de recherche, l’aide financière, le soutien aux études, l’admission et plus encore. Profitez-en pour venir découvrir nos programmes en sciences de l'environnement.
L'UQAM souhaite organiser une délégation pour la représenter à la Conférence des Nations Unies sur la biodiversité (COP15) qui se tiendra au Palais des congrès de Montréal, du 7 au 19 décembre prochains.
Veuillez compléter le formulaire ci-dessous pour signifier votre intérêt à participer à la délégation avant le vendredi 23 septembre 2022, 17 h via le formulaire d'appel à intérêt.
Pour toute question relative à cet appel d'intérêt, veuillez contacter Marie-Audray Ouellet, agente de recherche à l'ISE.
Bonne chance à toutes et à tous!
NB: La taille de la délégation de l'UQAM à la COP15 sera déterminée par le Secrétariat de la Convention sur la diversité biologique, à la suite de la demande initiale de l'UQAM qui doit être acheminée au Secrétariat avant le 30 septembre. Il est fort probable que seulement une fraction des places demandées soit octroyée.
Jeudi dernier avait lieu l'activité de réseautage et de retrouvailles "Étudier en environnement, et après?", organisée par l'Association étudiante des cycles supérieurs en sciences de l'environnement. Près de 70 personnes ont participé à l'événement qui proposait une table ronde réunissant des diplômés-es de l'ISE aux parcours variés, ainsi que l'occasion de reconnecter avec des collègues, anciens et actuels. Félicitations au comité organisateur de cet événement couronné de succès! Nul doute que cette première édition ne sera pas la dernière!
Depuis l’émergence de la COVID-19, plusieurs avancent que la pandémie mondiale qui en a résulté n’est pas simplement une autre crise – qui se superpose à celles de la biodiversité ou du climat, par exemple – mais que nous sommes bien confrontés à une seule et même crise, la plus importante pour l’espèce humaine jusqu’ici.
Quels liens peut-on tisser entre pandémie, crise du climat et crise de la biodiversité? Comment peut-on envisager des actions visant la préservation des milieux naturels et de la biodiversité dans un contexte d’intensification des pressions démographiques, commerciales et d’exploitation des ressources? Le passage vers l’après-COVID et l’évitement d’une « ère des pandémies » doivent-ils nécessairement s’accompagner d’un changement de paradigme global lié au développement? Nos panélistes proposeront leur lecture de ces enjeux et souligneront l’importance de solutions basées sur la nature et intégrant les instances de gouvernance et les communautés locales dans un contexte mondialisé où les rapports de pouvoir et les logiques d’interdépendances s’expriment de manière exacerbée.
Panélistes :
Catherine Viens est doctorante en science politique à l’UQAM. Ses intérêts de recherche portent sur l’écologie politique féministe et décoloniale, le fédéralisme en Inde et dans le Sud Global, les études critiques du développement, les conflits socio-écologiques, la justice environnementale, ainsi que sur les processus locaux et les institutions locales de gouvernance. À l’IEIM, elle est responsable des projets spéciaux.
Daniel Kneeshaw est professeur au département des sciences biologiques de l’UQAM. Spécialiste de l’écologie forestière, il est titulaire de la Chaire de recherche stratégique sur la résilience et les vulnérabilités et la résilience des forêts tempérée et boréale aux changements climatiques. Ses recherches s’intéressent notamment à l’aménagement durable des forêts, aux impacts des perturbations et des stress sur la productivité forestière, et au maintien de la biodiversité en milieu forestier.
Mot de bienvenue et animation :
Éric Pineault, professeur au département de sociologie et président du comité scientifique de l’ISE
Une période d’échanges avec le public aura lieu après les présentations.
Ce mardi 16 mars, à 12h30, nous recevons Waafa Baâbou, candidate au doctorat en sciences de l'environnement.
Résumé : La construction des bâtiments est un contributeur majeur à l’épuisement des ressources minérales et métalliques, d’où la nécessité d’évaluer l’utilisation par rapport au budget qui assure le bon maintien de la réserve. L’étude utilise le concept des limites planétaires afin de définir un budget annuel de dissipation de ressource jusqu’à l’adaptation complète des utilisateurs à d’autres substituts. Les approches d’allocations permettent d’allouer un budget au secteur de la construction des bâtiments et au cycle de vie d’un type précis des bâtiments. Sous la direction de Cécile Bulle (dép. stratégie, responsabilité sociale et environnementale, UQAM) et de Mario Santana (Université de Carleton).
Le projet de construction d’un complexe de liquéfaction de gaz naturel à Saguenay vise à exporter du gaz naturel liquéfié (GNL) sur les marchés mondiaux dès 2026. Une usine de liquéfaction serait construite à Saguenay dans l’objectif de refroidir le gaz naturel fossile extrait par fracturation provenant de l’Ouest canadien.
Ce projet a engendré un vaste mouvement de mobilisation citoyenne et de nombreux débats dans la sphère publique. Dans le cadre des consultations et audiences publiques qui ont eu cours à l’automne 2020, le BAPE a reçu plus de 2500 mémoires portant sur le projet GNLQ, un record! De nombreux mémoires déposés (dont plusieurs provenant de membres de la communauté universitaire) mettent de l’avant le caractère délétère du projet sur le plan environnemental et mettent en doute sa viabilité économique.
Le rapport très attendu du BAPE doit être déposé au ministère de l'Environnement et de la Lutte aux Changements climatiques le 10 mars prochain, et rendu public peu de temps après.
Des professeurs-es, enseignants-es et étudiants-es de l’Institut des sciences de l’environnement (ISE) se sont positionnés face au projet GNL Québec. Cet engagement de nos scientifiques pose d’importantes questions : Comment la science peut-elle se placer au service des enjeux socioécologiques? Comment peut-on prendre position en tant qu’universitaire tout en protégeant sa crédibilité de chercheur-euse? L’ISE propose, par l’entremise d’un panel réunissant de ses membres ayant participé à la démarche d’évaluation du projet, un condensé de l’argumentaire et un compte rendu de leur expérience.
Gabrielle Roy-Grégoire, étudiante à la maîtrise en sciences de l'environnement Association étudiante des cycles supérieurs en sciences de l'environnement
Marie Saint-Arnaud, chercheuse associée au Centr'ERE Collectif scientifique sur la question du gaz de schiste et sur les enjeux énergétiques au Québec
Éric Pineault, professeur au département de sociologie et économiste
Animé par : Tanya Handa, professeure au département des sciences biologiques et directrice du programme de maîtrise en sciences de l'environnement
Le professeur Mark Purdon (dép. stratégie, responsabilité sociale et environnementale) est à la recherche d’un.e étudiant.e pour l’assister dans la recherche et coordination du Partenariat de recherche conjoint sur le climat et les transports (JCCTRP).
Date de début: 18 janvier 2021 ou dès que possible.
Une unité multidépartementale et multifacultaire qui anime la vie académique et coordonne la concertation interdisciplinaire, dans un esprit d'ouverture, de collégialité et de liberté académique.